La nullité de mariage

La nullité de mariage est aujourd’hui quelque chose qu’on ne connaît plus vraiment sauf peut-être dans les milieux catholiques.

 Histoire et abus

A partir de la fin de l’Antiquité tardive, l’Eglise impose progressivement son pouvoir. En Occident, la chute de l’empire romain (476) et l’instabilité politique liée à l’émergence des nouveaux royaumes barbares, facilitent la reprise en main de la société par l’Eglise. La législation civile va donc se conformer aux règles de l’Eglise et le divorce sera progressivement supprimé.

Le divorce n’existant plus, la nullité de mariage sera utilisée comme un substitut pour rompre les unions qu’on ne désirait plus. Cela engendra bien sur toutes sortes d’abus, y compris (surtout ?) dans les plus hautes sphères du pouvoir.

 Définition

Aujourd’hui avec le retour du divorce, la nullité de mariage qui existe toujours officiellement, n’est dans les faits quasiment plus utilisée sauf dans la sphère catholique. Pour autant, cette possibilité mérite quand même d’être abordée.

La nullité de mariage signifie que le  mariage » contracté  n’est pas valide et ne peut pas être reconnu comme tel, parce que celui-ci a enfreint une des conditions du mariage. Bien entendu les conditions de mariage variant d’un pays à l’autre, les causes de nullité sont aussi différentes.

 Les cas de nullité d’un point de vue de chrétien

Pour réfléchir sur les motifs de nullité, il faut revenir à la définition du mariage. Dans un article précédent,  j’avais proposé celle-ci :

  » Il s’agit de l’union entre un homme et une femme. Cette union résulte de la volonté libre des deux conjoints. Elle est scellée par Dieu et ne peut donc pas être annulée par un homme. Le mariage commence avec l’engagement mutuel de fidélité et aboutit naturellement à la consommation »

On peut donc considérer comme nul, tout mariage qui contredirait un de ces critères :

Mariage forcé, mariage entre personnes de même sexe, mariage incestueux et mariage basé sur un mensonge d’identité.

 Un cas particulier

Enfin un cas particulier doit être mentionné. Il ne s’agit pas exactement d’une nullité de mariage, mais on s’en rapproche au moins dans les conséquences :

 « A ceux qui sont mariés, j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari  si elle est séparée, qu’elle demeure sans se marier ou qu’elle se réconcilie avec son mari, et que le mari ne répudie point sa femme.  Aux autres, ce n’est pas le Seigneur, c’est moi qui dis: Si un frère a une femme non-croyante, et qu’elle consente à habiter avec lui, qu’il ne la répudie point;   et si une femme a un mari non-croyant, et qu’il consente à habiter avec elle, qu’elle ne répudie point son mari.   Car le mari non-croyant est sanctifié par la femme, et la femme non-croyante est sanctifiée par le frère; autrement, vos enfants seraient impurs, tandis que maintenant ils sont saints.   Si le non-croyant se sépare, qu’il se sépare; le frère ou la soeur ne sont pas liés dans ces cas-là. Dieu nous a appelés à vivre en paix.  Car que sais-tu, femme, si tu sauveras ton mari? Ou que sais-tu, mari, si tu sauveras ta femme? » 1 Corinthiens 7

Dans ce passage l’apôtre Paul autorise visiblement les chrétiens mariés à des non-chrétiens (très certainement avant leur conversion), à se remarier si le conjoint non-chrétien se sépare. Notons cependant qu’il s’agit de l’avis de l’apôtre et non de la Parole de Dieu. 

24 réflexions sur “La nullité de mariage

  1. Bonjour frères et soeurs,
    ___Dans le contexte de « 1 Corinthiens 7 » ont voit dans la version « Segond » le mot « lié » qui n’est pas partout ici le même mot dans l’original grec. Aux versets 27 et 39, ce mot lien (deo) indique que dans le mariage le lien prend fin à la mort.

    1 Corinthiens 7.27 : « Es-tu lié (deo) à une femme, ne cherche pas à rompre ce lien; n’es-tu pas lié à une femme, ne cherche pas une femme. »

    1 Corinthiens 7.39 : « La femme est liée (deo) pendant tout le temps que son mari est en vie; mais si le mari s’est endormi, elle est libre de se marier à qui elle veut, seulement dans le Seigneur; »

    deo = http://www.enseignemoi.com/bible/strong-biblique-grec-deo-1210.html

    ___Tandis que le mot lien (douloo) parle plutôt de relation entre deux partis; par exemple un esclave qui est tenu d’avoir une attitude de servir son maitre à cause de son lien d’engagement envers lui.

    (version Darby) :
    1 Corinthiens 7.15: « Mais si l’incrédule s’en va, qu’il s’en aille; le frère ou la soeur ne sont pas ASSERVIS (douloo) en pareil cas; … »

    douloo = http://www.enseignemoi.com/bible/strong-biblique-grec-douloo-1402.html

    ___Autrement dit, le frère ou la soeur n’est pas obligé de faire les quatre volontés de celui qui est parti. Il n’est donc pas question ici d’un lien de mariage qui aurait pris fin. Si une femme a quitté son mari d’elle-même, celle-ci est toujours sa femme puisqu’au verset 11 celui-ci est toujours appelé « son mari ». Paul dit à cette femme de retourner avec lui si cela est possible; si son mari ne veut pas la reprendre elle doit demeure seule dans ce cas sans se remarier, car le lien du mariage subsiste jusqu’à la mort nous dit Paul au verset 39 (Rom 7.1-3).

    1 Corinthiens 7.10, 11: « A ceux qui sont mariés, j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari; si elle est séparée, qu’elle demeure sans se marier ou qu’elle se réconcilie avec SON MARI, et que le mari ne répudie point sa femme. »

    ___Bien entendu, ici au verset 11, si la femme n’avait pas commis « pornéia » (adultère, etc.) le mari devrait la reprendre.
    ___Paul ne fait pas de déférence entre croyant et incroyant concernant le lien du mariage; ils sont liés durant tout leur vivant. D’ailleurs, le mot grec pour « croyant » ne se limite pas à une adhérence intellectuelle au message de Jésus, mais signifie « le ayant foi », donc celui qui est dans la foi, qui marche dans la foi. Considérerions-nous notre femme d’incroyante parce que celle-ci n’est plus dans la foi dans sa marche ? Cela dépend de la définition que nous en donnons. Le contexte nous indique mieux s’il s’agit d’un « incroyant » ou d’un « étant pas dans la foi dans sa marche ».
    ___Si le croyant doit honorer les payements mensuels de sa maison de l’argent qu’il avait emprunté avant sa conversion à Jésus, combien plus doit-il respecter son engagement (le mariage) qu’il a contracté avec sa femme avant sa conversion. Si un esclave s’est vendu à un maître pour un certain nombre d’années, combien plus devait-il respecter son engagement jusqu’à son terme après sa conversion. Sinon, où serait notre témoignage vivant de Jésus en nous ? Bien entendu, si cet esclave peut faire arrangement avec son maitre pour qu’il le libère de leur contrat, il en profitera pour devenir libre de ce maitre. Ainsi, après sa conversion, chacun doit respecter l’état de ses engagements qu’il avait avant sa conversion, même si c’est avec un incroyant, que ce soit un esclave il y a 2000 ans ou un mariage (ou un emprunt) aujourd’hui. La repentance envers Dieu n’indique-t-elle pas cela ?

    1 Corinthiens 7.20-21 : « Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. As-tu été appelé étant esclave, ne t’en inquiète pas; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt. »

    ___Il est à noter que Jésus et Paul font une différence entre l’homme et la femme dans plusieurs versets. Ne pas faire l’erreur d’attribuer à une femme ce qui est dit à l’homme et vis-versa, sinon il y aurait des contractions apparentes.
    rh http://www.bible2000.net

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    • Oui. C’est pourquoi, les propos de Paul surprennent dans 1 Tim 5, lorsqu’il ordonne aux femmes dont le mari n’est pas forcement mort de se remarier, même si cela brise ce lien.
      Je pense que Paul réalisait que d’imposer de rester seul à vie (tout en étant encore lié) était impossible. Il était pragmatique.
      Jésus lui a parler durement aux pharisiens qui disaient s’appuyer sur la loi de Moise, tout en répudiant leur femme pour prendre une femme plus jeune, plus jolie.
      Ils y avaient de très nombreuses femmes livrées à elles-mêmes, mises à la porte par les pharisiens, qui se vantaient d’avoir en tout point suivi la loi de Moise sans se préoccuper de sort de leurs épouses répudiées …
      Jésus a défendu ces femmes qui se retrouvaient à la rue, et qui étaient condamnée à crever de faim … ou à mendier … ou à se prostituer … ou à glaner (voir à retourner chez leur père, si ce dernier était toujours vivant … et s’il les acceptait )

      Paul recommandera aussi, en 1 Cor 7 de se (re) marier plutot que de brûler aux aner (humain de sexe masculin) agamoi (solobataire ayant ou pas déjà été marié)

      Et dans le même verset, il recommandera la même chose aux chera (solobataires qui sont soit veuves, soit séparées/répudiées/divorcées … littéralement en déficience de mari … c’est à dire qui n’ont pas de mari qui les nourri… … et on retombe dans la loi de Moise, où les femmes dont le mari ne prenait pas soin pouvaient partir librement ,,, et se remarier avec un mari qui les nourrirait mieux (qui en prendrait soin) …

      Se laisser enseigner et même corriger par la bible sans y rechercher ce qui pourrait corroborer notre propre conviction est plus difficile que de partir de ce que nous ‘pensons d’avance être juste’ …
      C’est le contraire de rechercher dans la bible (et parfois dans l’histoire) ce que réellement les apôtres ont souhaité dire …

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    • Bonjour Raymond,

      je pense l’esclave c’est celui qui n’a plus autorité sur son propre corps. En ce sens le mariage est bien un esclavage, puisque c’est désormais l’homme qui a autorité sur le corps de la femme et la femme qui a autorité sur le corps de l’homme.

      D’où à mon sens l’utilisation ici du verbe douloo.

      Bonne journée,

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  2. Jésus dira aussi : que l’homme ne sépare pas ce que Dieu à uni (joint) littéralement collé.

    L’homme a ‘la possibilité mathématique’ de séparer ce que Dieu à joint. Ce n’est pas la volonté de Dieu, mais ce qui est séparé, est séparé.

    Merci Raymond pour ton lien sur porneia.
    Tu remarqueras qu’il y a une erreur dans cette concordance, puisque mocheia de Marc est cité comme étant porneia.

    Sinon, je recherche la même chose dans l’AT depuis La Septante (Porneia dans l’AT) et pour l’instant, je n’ai pas trouvé le moyen de le faire rapidement et simplement. Connais-tu par hasard une possibilité de le faire ?

    Merci
    Soit béni
    Sandra

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      • κολλάω
        kollaó
        I glue, cleave, keep company with
        (lit: I glue); hence: mid. and pass: I join myself closely, cleave, adhere (to), I keep company (with), of friendly intercourse.
        cleave, join self, keep company. From kolla (« glue »); to glue, i.e. (passively or reflexively) to stick (figuratively) — cleave, join (self), keep company.

        C’est à dire, uni, joint, littéralement collé.
        Par exemple, uni derrière ce verset est kollao …

        1Corinthiens 6:16
        Ne savez-vous pas que celui qui est uni à une prostituée est un seul corps avec elle ? « Car les deux, dit-il, seront une seule chair »

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  3. Pour l’instant, à l’aide de google, dans la septante translittérée, j’arrive à voir ceci
    https://www.google.ch/search?as_q=porneia&as_epq=&as_oq=&as_eq=&as_nlo=&as_nhi=&lr=&cr=&as_qdr=all&as_sitesearch=http%3A%2F%2Fbiblehub.com%2Fsept&as_occt=any&safe=images&as_filetype=&as_rights=

    Qui connait la grammaire grecque et pourrait nous donner les différentes variantes de ce mot dans tous les autres cas (génitif,, vocatif, accusatif, etc) il me semble que la liste doit être longue ! 🙂 (elle existe peut.être sur Internet)

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    • C’est un féminin de première déclinaison , il se décline donc
      porneia, porneiav, porneias, porneia (avec le i en dessous du a), porneiai , porneias, porneion, porneiais

      Mais il faudrait aussi regarder au verbe porneuo

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      • C’est bien ce à quoi je m’attendais ! 🙂
        Avec le verbe cela doit faire passablement de déclinaison de plus ! 🙂
        Mais dans biblos.com, il doit être possible de partir du radical. En tout cas, c’est possible dans le NT en grec et dans l’AT en hébreu … mais ils y a tout de même 3 Septante derrière l’AT dans ce cite …
        Peut-être trouveras-tu ?

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  4. Bonsoir Sandra,
    ___Je ne vois pas d’erreur dans mon lien concernant « Porneia ». Je n’en vois pas non plus concernant « Moichao » en « Marc 10.11-12 ». Car « Moichao » serait un péché concernant le non-respect du lien marital commis avec une autre personne, tandis que « Porneia » est un péché de sexualité en général. Par exemple, en « 1 Cor 5.1 » on voit que le fait de coucher avec la femme de son père, c’est une forme de péché sexuel, donc un péché inclut dans « Porneia ».

    1 Corinthiens 5.1: « On entend dire généralement qu’il y a parmi vous de l’impudicité (porneia), et une impudicité (porneia) telle qu’elle ne se rencontre pas même chez les païens; c’est au point que l’un de vous a la femme de son père. »

    ___Un péché quelconque de l’ordre sexuel qui n’est pas permis en dehors du mariage est aussi « Porneia ».

    1 Corinthiens 7.2: « Toutefois, pour éviter l’impudicité (porneia), que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari. »

    ___ »Porneia » peut être aussi utilisé au sens figuré. L’acte de concevoir un enfant en adultère (donc illégitime) est « Porneia ».

    Jean 8.41: « Vous faites les oeuvres de votre père. Ils lui dirent : Nous ne sommes pas des enfants illégitimes (porneia); nous avons un seul Père, Dieu. »

    ___Donc, ce péché sexuel « Porneia » est en rapport avec notre corps (1 Corinthiens 6.18).

    1 Corinthiens 6.18: « Fuyez l’impudicité (porneia)… »

    ___Voici les deux liens pour afficher tous les versets des deux mots grecs « Porneia » et « Moichao » :

    Porneia = http://www.enseignemoi.com/bible/strong-biblique-grec-porneia-4202.html

    Moichao = http://www.enseignemoi.com/bible/strong-biblique-grec-moichao-3429.html

    ___Voici les quaatre versets contenant le mot « Moichao » :

    Matthieu 5 : 32: « Mais moi, je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour cause d’infidélité (porneia), l’expose à devenir adultère (moichao), et que celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère (moichao). »

    Matthieu 19 : 9: « Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère (moichao). »

    Marc 10 : 11: Il leur dit : Celui qui répudie sa femme et qui en épouse une autre, commet un adultère (moichao) à son égard; »

    Marc 10 : 12: et si une femme quitte son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère (moichao). »

    ___Pour l’instant je ne connais pas de lien Internet pour faire des recherches dans la Septante. Mais cela m’intéresserait.
    rh

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    • Bonjour Raymond,

      Oui, c’est toi qui a raison dans ces versets-ci :

      Marc 10 : 11: Il leur dit : Celui qui répudie sa femme et qui en épouse une autre, commet un adultère (moichao) à son égard; »

      Marc 10 : 12: et si une femme quitte son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère (moichao). »

      Donc, ce que dit la concordance ne tient pas la route ici :
      1 : C : Relation sexuelle avec un ou une divorcée; Marc 10.11,12
      Il n’y a pas de porneia en Marc 10: 11 et 12 ! 🙂

      Sandra

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      • Bonjour,
        ___Dans cette concordance « en ligne » (sur « www.enseignemoi.com »), je ne me fie pas aux définitions données dans l’entête (définitions plus ou moins exactes et qui ne font pas partie du texte biblique), mais je peux tenir compte de la racine du mot grec ou hébreux (bien que cela ne soit pas toujours justifié vu que le sens d’un mot peut avoir varié dans le langage courant d’une époque à l’autre) et analyser moi-même tous les versets (ayant ce même mot grec ou hébreux ) pour discerner quel mot (ou expression) va dans tous ces versets qui ont été écrits dans une même époque. Ainsi, je tiens compte des recherches déjà effectuées par d’autres sur ce mot, mais dans la comparaison des versets, je m’attends au Saint-Esprit pour me donner le discernement et la conviction sur sa signification exacte.

        ___Pour ceux qui aimeraient mieux comprendre comment afficher tous les versets ayant le même mot original (grec ou hébreux), voici la marche à suivre sur le site « www.enseignemoi.com ». Je n’adhère pas pour autant à tous les enseignements sur ce site, mais l’instrument de recherche est excellent et j’encourage tous les croyants à l’utiliser.
        ___Exemple: on voudrait afficher tous les versets dont le mot grec correspond au mot « aimer » qui se trouve en « Jean 3.16 » :
        1) aller sur le site http://www.enseignemoi.com
        2) cliquez sur le menu « Bible » (en haut),
        3) dans le sous-menu qui s’affiche, cliquez sur « Rechercher un verset »,
        4) dans la marge à gauche vers le bas, cliquez sur « Jean »,
        5) dans la rangée des « Chapitres » vers le haut, cliquez sur le nombre « 03 » pour afficher tous les versets du chapitre 3,
        6) sous la rangée des nombres des « Chapitres : », cliquez sur la case à côcher intitulée « [] Afficher les strongs » afin d’afficher (à côté des mots dans le chapitre en dessous) les numéros de la concordance « Strongs » qui correspondent à chacun des mots affichés,
        7) descendez la page jusqu’au verset 16, puis cliquez sur le numéro « 25 » à côté du mot « aimé ».

        ___Ainsi, la page concernant ce verbe « aimer » [« Agapao (strong n°25) »] apparaît en affichant tous les versets de la bible où le mot « Agapao » (aimer) se trouve dans l’original grec du Nouveau Testament. Ainsi, vous pouvez analyser ce mot grec en comparant tous ces versets. Si vous désirez afficher le chapitre entier de l’un de ces versets, vous n’avez qu’à cliquer sur sa référence au début du verset en question.
        rh

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      • (David, j’espère que je n’envoie pas deux fois la même réponse)

        Merci Raymond pour tes explications.
        Ce que nous cherchons, c’est la Septante (le grec dans l’AT). Sais-tu comment y arriver ?
        Car dans toutes les concordances que je connais, c’est l’hébreu qui est derrière l’AT.

        Et … le summum serait de trouver en 2 clics dans l’AT : grec + hébreu + français (ou anglais) pour une même racine … et les versets en entier pas juste les ref …

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      • Bonjour Sourire,
        ___Désolé pour ta demande, je ne connais pas de site Web où faire cela avec la Septante. Par contre, si quelqu’un en connait un (peu importe la langue du site) j’apprécierais de connaitre ce site Web moi aussi.
        rh

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  5. Alors concernant l’utilisation de porneia et porneuein :

    Porneia :

    Gen. 38v 24
    Nb : 14v33
    2R9 v22
    Tobie 4v12 et 8v7
    Sagesse 14v12
    Prov. 26v7
    Siracide 23v23 / 26v9 / 41v17
    Osée 1v2 / 2v et 4 / 4v 11 et 12 / 5v 4 et 6v11
    Michée 1v 7
    Nahum 3v3 et 4
    Esaie : 47v10 / 57v9
    Je. 2v20 / 3v 2 et 9 / 13v 27
    Ez. 16v15, 22 , 25, 33, 34, 36, 41/ 23v7, 8, 11, 14, 17, 18, 19, 27, 29, 30, 35 / 43v 7 et 9

    Porneuein
    De 23v17
    Judith 2v 15
    1 Ch 5 v 25
    Ps 72v 27 / 105v39
    Osée 3v3 et 4v10, 14 et 18 / 9v1
    Amos 7v 17
    Je. 3v 6, 7 et 8
    Ez. 6v9 / 16v 15 et 34 / 23v 3 et 19

    Il peut arriver que tu ne trouves pas le mot dans le verset exact, dans ce cas regarde juste au dessus ou en dessous, car il peut exister de légères variantes dans la numérotation.

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  6. Bon courage ! 🙂
    En fait, si nous voyons dans 2 ou 3 versets que ce mot concerne tromper Dieu avec d’autres Dieu et dans 2 ou 3 autres qu’il s’agit de ‘péchés sexuels’ … nous aurons déjà une idée … et en reprenant l’hébreu derrière le grec, on verra si porneia traduit râ …

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  7. Pingback: Sommaire : Le mariage chrétien | Philochristos

  8. J’avais lu ceci de toi, il y a déjà quelques jours :
    Dans ce passage l’apôtre Paul autorise visiblement les chrétiens mariés à des non-chrétiens (très certainement avant leur conversion), à se remarier si le conjoint non-chrétien se sépare. Notons cependant qu’il s’agit de l’avis de l’apôtre et non de la Parole de Dieu.

    Et à peine plus loin tu écris ceci :
    On peut donc considérer comme nul, tout mariage qui contredirait un de ces critères :
    Mariage forcé, mariage entre personnes de même sexe, mariage incestueux et mariage basé sur un mensonge d’identité.

    Ce à quoi je te réponds : notons cependant qu’il s’agit de l’avis de David et pas même de l’avis d’un des apôtres ! 🙂 🙂

    … dit-elle avec douceur et chaleur et … un brin d’espièglerie ! 🙂

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    • Je vais même te dire mieux Sandra, tu peux supprimer la dernière citation et appliquer ta remarque à l’ensemble du blog.

      Tout ce blog n’est QUE mon avis. Bien entendu, si je prends la peine de le publier, c’est que je pense qu’il est inspiré et que j’ai raison. Mais je ne prétend l’imposer à personne. Et d’ailleurs comme tu l’as dit toi-même, je ne suis ni apôtre, ni détenteur d’un quelconque ministère officiel/professionnel et je ne compte pas le devenir.

      Cela ne restera donc que mon avis personnel, qui n’engage aucune institution/église. Après à chacun d’en faire ce qu’il veut.

      Bonne journée à toi et merci pour ta participation à ce blog 🙂

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